Binh Thuan : ouverture de l’instruction pénale sur des troubles à l’ordre public

La Police de Binh Thuan a décidé d’ouvrir l’instruction des affaires concernant les actes extrémistes survenus les 10 et 11 juin dans le bourg de Phan Ri Cua et dans la ville de Phan Thiet.
Binh Thuan : ouverture de l’instruction pénale sur des troubles à l’ordre public ảnh 1Des extrémistes mettent feu à des véhicules devant le siège du Service provincial du Plan et de l'Investissement de Binh Thuan. Photo : VNA

Binh Thuan (VNA) – La Police de Binh Thuan a décidé d’ouvrir l’instruction des affaires concernant les actes extrémistes survenus les 10 et 11 juin dans le bourg de Phan Ri Cua (district de Tuy Phong) et dans la ville de Phan Thiet.

Les charges retenus contre les prévenus sont les suivants: troubles à l’ordre public, destruction de biens et opposition aux personnes en mission publique.

La Police de Binh Thuan a demandé aux polices locales de renforcer les mesures pour garantir la sécurité à la population. Le colonel Nguyen Van Nhieu, porte-parole de la Police de Binh Thuan, a souligné la volonté de la police provinciale de ne pas laisser se reproduire des affaires similaires. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.