Colonie de vacances des jeunes vietnamiens et cambodgiens

 Une colonie de vacances des jeunes vietnamiens et cambodgiens a lieu du 1er au 4 mars au district de Buon Don et dans la ville de Buon Ma Thuot, province de Dak Lak (Hauts Plateaux du Centre).
 Une colonie devacances des jeunes vietnamiens et cambodgiens a lieu du 1er au 4 marsau district de Buon Don et dans la ville de Buon Ma Thuot, province deDak Lak (Hauts Plateaux du Centre).

L’événement attireplus de 400 jeunes vietnamiens venus d'organismes de l'armée et de lapolice, d'IUT, d'universités de Dak Lak et 40 autres ayant fait ledéplacement depuis la province cambodgienne de Mondulkiri.

C'est une bonne occasion pour eux de se rencontrer et d'échanger desexpériences et ainsi de resserrer leur solidarité et amitié.

Les participants prennent part à diverses activités dontreprésentations artistiques, jeux populaires, un défilé en costumestraditionnels de chaque pays, etc. De plus, ils visitent le village decafé Trung Nguyen, le musée provincial de Dak Lak et d'autres siteshistoriques de la ville de Buon Ma Thuot. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.