Assurance-santé : accélération du recensement des familles couvertes

La Sécurité sociale du Vietnam (VSS) a demandé à ses antennes locales d’accélérer le recensement des familles couvertes par l’assurance-santé.
Assurance-santé : accélération du recensement des familles couvertes ảnh 1Le tiers-payant grâce à l'assurance-santé. Photo : VNA
 

Hanoi (VNA) – La Sécurité sociale du Vietnam (VSS) a demandé à ses antennes ​locales d’accélérer le recensement des familles couvertes par l’assurance-santé.

Elle leur demande de coopérer étroitement avec les comités populaires des communes et les bureaux de poste ​dans ce travail, de limiter au maximum les erreurs et de renforcer la communication pour recueillir des informations exactes.

Selon la Sécurité sociale du Vietnam (VSS), ​en février 2016, plus de 19,97 millions de formulaires ont été reçus dans le pays, dont 19 millions ont été saisis sur un logiciel ​de gestion, ce qui représente 75 millions de personnes, soit 82 % de la population nationale.

Fin 2015, environ 16,2 millions de personnes n'étaient pas couvertes par une assurance-santé dans le cadre familial.-VNA

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.