Saisies de drogues à Ho Chi Minh-Ville et Quang Ninh

Les Douanes de Ho Chi Minh-Ville ont découvert mardi 4,22 kg d'héroïne, d'une valeur de 15 milliards de dôngs (environ 714.300 dollars), cachés dans un colis envoyé en express en Australie.

Les Douanes de Ho ChiMinh-Ville ont découvert mardi 4,22 kg d'héroïne, d'une valeur de 15milliards de dôngs (environ 714.300 dollars), cachés dans un colisenvoyé en express en Australie.

L'héroïne, sous forme liquide, était contenue dans 40 des 140 tubes d'un colis de 16,5 kg.

Depuis janvier, l'agence des douanes d'envoi express de Ho ChiMinh-Ville a saisi plus de 8 kg de stupéfiants et de précurseurs dedrogue d'une valeur totale de plus de 20 milliards de dôngs (près de 1million de dollars).

Le 10 février, les garde-frontièresdu poste frontalier international de Mong Cai, province de Quang Ninh(Nord), ont arrêté Tran Duy Yen, né en 1991 et originaire de Bac Ninh,qui transportait 194,92 grammes de méthamphétamine de Chine àdestination du Vietnam.

Auparavant, les servicescompétents ont saisi 361,5 grammes d'héroïne et 2.778 pilules de droguesde synthèse à ce même poste frontalier de Mong Cai. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.