Lancement de l’application pour les victimes vietnamiennes de l’agent orange/dioxine

Ce mardi 6 octobre, l’Association des victimes vietnamiennes de l’agent orange/dioxine (VAVA) a présenté l’application VAVA Plus.
Lancement de l’application pour les victimes vietnamiennes de l’agent orange/dioxine ảnh 1L'application pour les victimes vietnamiennes de l’agent orange. Photo: laodong.vn

Hanoi (VNA) - Ce mardi 6 octobre, l’Association des victimes vietnamiennes de l’agent orange/dioxine (VAVA) a présenté l’application VAVA Plus.

Selon son président Nguyên Van Rinh, cette plateforme permet aux donateurs potentiels de connaître les besoins des victimes de l’agent orange/dioxine et d’entrer en contact avec elles. Elle publie également des reportages sur les victimes de l’agent orange/dioxine.

De 1961 à 1971, l’armée américaine a déversé 80 millions de litres de défoliants au Vietnam, lesquels contenaient près de 400 kg de dioxine, un produit hautement toxique qui perturbe les fonctions hormonales, immunitaires et reproductives de l'organisme.

Selon l’Association des victimes de l’agent orange/dioxine du Vietnam (VAVA), le pays compte plus de 4,8 millions de personnes directement exposées au défoliant, dont 3 millions en subissent encore les séquelles. Des centaines de milliers d’entre eux sont décédés dans la douleur. D’autres continuent de combattre tant bien que mal leurs maladies, souvent incurables. De nombreux enfants sont nés malformés ou condamnés à une vie végétale… -VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.