Clôture du 11e Congrès national des femmes

Le 11e Congrès national des femmes s'est clôturé mercredi à Hanoi.

Le 11e Congrès national des femmes s'est clôturémercredi à Hanoi avec la réélection de Mme Nguyen Thi Thanh Hoa auposte de présidente du Comité central de l'Union des femmesvietnamiennes (UFV) (11e mandat).

Le Congrès a également élu un présidium du CC de l'UFV de 32 membres.

Lors de la cérémonie de clôture, Nguyen Thi Thanh Hoa a souhaité quel'UFV serve de passerelle entre le Parti, l'Etat et le peuple, etparticipe activement à l'édification du Parti, de l'Etat et du pays.

Elle a appelé les antennes de l'UFV de tous les échelons à bienassimiler et mettre en oeuvre la résolution du Congrès ; à élaborerleur propre programme d'action ; à mobiliser les femmes pour lapratique de l'épargne ; à s'entraider pour sortir de la pauvreté ; àparticiper au développement socioéconomique, à la défense de la Patrie,à l'édification du bloc de grande union nationale ; à veiller à la viematérielle comme spirituelle des femmes et enfants ; ainsi qu'à faireécho au mouvement d'émulation patriotique du pays.

Lesparticipantes ont adopté le projet des Statuts de l'UFV (amendé etcomplété), la résolution du Congrès et les huit indices fondamentaux du11e mandat, selon lesquels au moins 80% des femmes devront êtresensibilisées aux préconisations, lignes, politiques et les lois duParti et de l'Etat ; 700.000 foyers démunis auront accès aux fonds etaides de l'UFV, ce qui devrait permettre à 400.000 d'entre eux desortir de la pauvreté ; 10.000 "maisons de coeur" seront construites...-AVI

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.