Ho Chi Minh-Ville (VNA) - Selon le Comité chargé des Vietnamiens à l’étranger de Hô Chi Minh-Ville, une rencontre avec des Viêt kiêu (Vietnamiens résidant à l’étranger) sera tenue dans la soirée du 24 janvier (soit le 19e jour du 12e mois lunaire de l’année du Chien 2018) à l’occasion du Nouvel An lunaire du Cochon 2019.
Cette rencontre en écho au Nouvel an lunaire est une activité reflétant l’attention des autorités de Ho Chi Minh-Ville vis-à-vis de la communauté vietnamienne vivant à l’étranger de retour dans leur Patrie d'origine à l’occasion du Têt traditionnel. Cet événement donne une bonne opportunité aux Viet kieu d’échanger des informations et des initiatives dans l’édification nationale et la construction de la mégapole du Sud.
Cette activités verra la participation de quelque 800 Viet kieu venus de nombreux pays et territoires comme le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Australie, le Canada, la France, l’Allemagne, le Belgique, la Russie, la Suisse, les Pays-Bas, le Pologne, la Nouvelle-Zélande, la Slovaquie, l’Italie, le Norvège, Hong Kong (Chine), les Philippines, Singapour, la Thaïlande, le Laos, le Cambodge, le Japon, la République de Corée, Taïwan (Chine), le Danemark, etc.
À cette occasion, le Comité populaire de Ho Chi Minh-Ville décernera des satisfecit à des individus exemplaires, en l'occurence des entrepreneurs et intellectuels vietnamiens résidant à l’étranger ayant e des contributions remarquables dans le développement de la communauté pendant la période 2016 – 2018.
Une exposition de photos sur le thème « Bienvenue à Ho Chi Minh-Ville pour le Nouvel An lunaire du Cochon 2019 » se déroulera dans le cadre de cette rencontre. Les autorités municipales enverront, du 5 au 25 février prochain, des troupes artistiques en Thaïlande, en Allemagne, en France et au Belgique pour effectuer des programmes culturels en faveur de la diaspora, ce l’occasion du Nouvel An lunaire du Cochon. -NDEL/VNA
Les pêcheurs engagés pour lever le « carton jaune » de la pêche INN
Ces dernières années, dans la ville de Huê, les pêcheurs sont devenus de véritables « gardiens de la mer », en respectant strictement les règles contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Grâce à une coordination étroite avec les gardes-frontières et les autorités locales, chaque navire est suivi et ses données sont vérifiées, contribuant ainsi à la transparence du secteur et aux efforts visant à lever l’avertissement de l’Union européenne (UE).
