PNUD : aide des habitants défavorisés de Binh Thuân dans la lutte contre la sécheresse

Le PNUD accordera 150.000 dollars afin de partager les difficultés de 5.000 habitants de deux districts à Binh Thuân (Sud) en raison de la sécheresse.
PNUD : aide des habitants défavorisés de Binh Thuân dans la lutte contre la sécheresse ảnh 1Logo du PNUD.

Binh Thuân (VNA) - Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) accordera 150.000 dollars ​afin de soutenir 5.000 habitants en difficulté des deux districts de Hàm Thuân Bac et de Bac Binh (province de Binh Thuân, Sud) en raison de la grave sécheresse qui sévit actuellement.

Sur délégation du PNUD, World Vision remettra à 1.250 foyers vietnamiens 20.000 bidons d’eau potable de 20 litres et 1.250 réservoirs d’eau de 1.000 litres.

Selon World Vision, le Centre de gestion des désastres et le Comité national de pilotage de prévention et de lutte contre les catastrophes naturelles, il existe encore d’autres difficultés dans cette localité, dont les maladies provoquées par la pollution de l’eau.

Auparavant, World Vision a ​accordé 80.000 dollars à 5.000 personnes des deux districts de Hàm Thuân Bac et de Bac Binh. -NDEL/VNA

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.