Jakarta, 12 décembre (VNA) – Le ministre indonésien de la coordination des affaires alimentaires, Zulkifli Hasan, a assuré le 11 décembre que l'approvisionnement alimentaire du pays était sûr en dépit des conditions météorologiques extrêmes.
Il a déclaré qu'il est estimé que l'approvisionnement alimentaire de l'Indonésie en 2024 sera meilleur que l'année dernière, notamment dans les secteurs de la pêche, de l'agriculture et de la production de sel. Par conséquent, le gouvernement prévoit de ne pas importer plusieurs produits de base tels que le riz, le sucre, le sel et le maïs pour la production d'aliments pour animaux en 2025 afin de garantir l'autosuffisance alimentaire d'ici 2027.
Selon Zulkifli Hasan, l'approvisionnement en riz de l'Indonésie se stabilise progressivement et sera suffisant jusqu'à la fin de l'année prochaine. Actuellement, la quantité totale de réserves de riz distribuées dépasse 8 millions de tonnes, dont 2 millions de tonnes sont stockées dans les entrepôts de l'Agence nationale de logistique (Bulog) tandis que le reste est réparti entre les détaillants et les grossistes.
L'Indonésie conserve des réserves de sel de plus de 800.000 tonnes, dépassant la demande de consommation estimée à 500.000 à 600.000 tonnes. Cet excédent a incité le gouvernement à cesser d'importer du sel pour la consommation.
Le ministre a également déclaré que le gouvernement n'importerait pas de sucre pour la consommation en 2025, compte tenu du stock suffisant d'environ 1,4 million de tonnes et de la production estimée à 2,6 millions de tonnes l'année prochaine.
Par ailleurs, la production de maïs pour l'alimentation animale devrait atteindre 16,7 millions de tonnes en 2025, tandis que les besoins nationaux en maïs sont d'environ 13 millions de tonnes.- VNA
La diplomatie économique contribue clairement au développement socio-économique, selon le PM
Le Premier ministre Pham Minh Chinh a présidé le 20 décembre une visio-conférence avec les ambassadeurs et les chefs des agences de représentation vietnamienne à l'étranger pour examiner le travail de diplomatie économique en 2024 et déployer les tâches clés pour 2025.