Les Vietnamiens deviennent la deuxième plus grande communauté étrangère au Japon

Pour la première fois, les Vietnamiens ont dépassé les Sud-Coréens pour devenir la deuxième plus grande communauté étrangère au Japon.
Les Vietnamiens deviennent la deuxième plus grande communauté étrangère au Japon ảnh 1Une stagiaire vietnamienne à la société Mishow à Tokyo. Photo: VNA

Tokyo (VNA) - Pour la première fois, les Vietnamiens ont dépassé les Sud-Coréens pour devenir la deuxième plus grande communauté étrangère au Japon, selon les dernières statistiques de l'Agence des services d'immigration du Japon (ISA) relevant du ministère de la Justice.

Avec 448.053 personnes, la communauté vietnamienne représente actuellement plus de 15% du nombre total des étrangers au Japon. Le nombre de Vietnamiens au Japon a décuplé en 10 ans.

Cette augmentation s'explique par un grand nombre d'étudiants et de stagiaires vietnamiens venus au Japon ces dernières années.

Les Chinois sont les plus nombreux avec plus de 778.112 personnes. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.