La 11e conférence des officiels de haut rangde l'ASEAN sur les minerais (ASOMM 11) s'est ouverte le 7 décembre àHanoi.
L'objectif est d'adopter le "Plan d'action de coopération de l'ASEANsur les minerais pour la période 2011-2015", d'examiner la création duFonds en fidéicommis, d'approuver où et quand sera organisée l'ASOMM12. Les résultats obtenus à l'issue de l'ASOMM 11 aideront les paysaséaniens à coopérer plus étroitement pour faire du secteur minier undes secteurs de pointe dans le développement socioéconomique de chaquepays.
Les forums de l'ASOMM 11 se concentrent sur lagarantie du développement et de l'utilisation durable des ressourcesminières, la promotion de la coopération dans le commerce etl'investissement dans l'exploitation des minerais, l'élaboration depolitiques et critères pour améliorer les activités d'exploitation deminerais.
Les discussions abordent également lerenforcement des capacités et des institutions dans le domainegéologique et minéral, la création d'un forum de dialogue privé au seinde l'ASEAN sur les minerais, l'élargissement de la coopération dans lesforums régionaux et internationaux en la matière.
Lapartie vietnamienne proposera des initiatives concrètes lors de l'ASOMM11, que ce soit l'adoption d'un plan d'action de coopération au sein del'ASEAN sur les minerais, le renforcement des capacités d'étude,d'enquête, d'évaluation des minerais et de la coopérationinternationale, ou encore de l'élaboration du mécanisme de partaged'informations en la matière.
Ensuite, du 8 au 9décembre, toujours à Hanoi, aura lieu une conférence des officiels dehaut rang de l'ASEAN sur les minerais avec trois consultants que sontla Chine, le Japon et la République de Corée (ASOMM+3), avec enparallèle la 3e conférence des ministres de l'ASEAN sur les minerais(AMMIN) et les conférences connexes. -AVI
Établir une base technologique solide pour le Centre financier international
Ho Chi Minh-Ville se fixe pour objectif de devenir, d’ici 2030, un pôle régional de premier plan en matière de science, de technologie et d’innovation, tout en édifiant un écosystème suffisamment robuste pour permettre au Centre financier international de fonctionner sur la base des données ouvertes, des actifs numériques transparents et des flux de technologies financières (fintech).
