Un projet de formation professionnelle de 10 millions d'euros

Le Premier ministre, Nguyen Tan Dung, vient d'approuver le projet de convention de crédit entre le Vietnam et la banque allemande KfW, en faveur du "Programme de formation professionnelle 2008".

Le Premier ministre, Nguyen TanDung, vient d'approuver le projet de convention de crédit entre leVietnam et la banque allemande KfW, en faveur du "Programme de formationprofessionnelle 2008".

D'un montant de 10 millionsd'euros, ce crédit s'inscrit dans le cadre du programme de coopérationVietnam-Allemagne en matière de la formation professionnelle.

Il vise à former des ouvriers qualifiés et à renforcer les compétencesdes professeurs et des cadres gestionnaires dans les secteurs de lamécanique, de l'électricité, de l'électromécanique....

Les cinq établissements de formation qui participeront à ce projet sontl'Ecole supérieure de l'industrie du Viet Bac-Vinacomin, l'Ecolesupérieure d'économie et technique de Bac Ninh, les Ecoles supérieuresde formation professionnelle d'An Giang et de Long An, et le Lycéeprofessionnel de Ninh Thuan. -AVI

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.