Une délégationvietnamienne participe à la 6e conférence annuelle et assemblée généralede l'Association internationale des autorités de lutte contre lacorruption (IAACA) qui a lieu du 4 au 7 octobre à Kuala Lumpur, enMalaisie.
La délégation vietnamienne est conduite par Nguyen Hai Phong, procureur en chef adjoint du Parquet populaire suprême.
Placée sous le thème ''Chapitre VI de la Convention des Nations uniescontre la corruption : Assistance technique et échange d'informations'',cette conférence de l'IAACA réunit un millier d'officiels d'organismesde lutte contre la corruption de 100 pays.
Pendant quatrejours, les délégués discutent de pratique juridique, de tâches deprévention et de lutte contre la corruption, de restitution des biens etde coopération internationale.
Ils abordent également laformation, l'aide technique, la collecte, l'échange et l'analysed'informations, le partage d'expériences telles que dans l'applicationde la convention contre la corruption.
La présence duVietnam à cette conférence internationale a pour objet d'acquérir desexpériences en ce domaine d'autres pays du monde, en particulier de laMalaisie qui a mené des opérations efficaces et a créé un Institut delutte contre la corruption exemplaire, a déclaré en marge de laconférence Le The Chien, chef adjoint du Département de l'inspection dusecteur économique de l'Inspection gouvernementale.
Lalutte contre la corruption au Vietnam est de plus en plus renforcée.L'Inspection gouvernementale élabore actuellement une nouvelle loi surla prévention et la lutte contre la corruption qui sera présentée lorsde la prochaine session de l'Assemblée nationale vietnamienne.
D'autre part, les lois sur les recours et dénonciations sont entrées envigueur depuis le 1er juillet 2012, alors que la législation surl'inspection est appliquée depuis 2010.
Grâce à lapromulgation de plusieurs textes, la lutte contre la corruptionconnaîtra des progrès significatifs, a conclu Lê Thê Chiên. - AVI
Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020
L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.
