Dimanche rouge 2018 : des millions de coeur battent à l’unisson

Le "Dimanche rouge", fête de don du sang, a été officiellement inaugurée dimanche matin à l’Institut polytechnique de Hanoï.
Dimanche rouge 2018 : des millions de coeur battent à l’unisson ảnh 1Dimanche rouge 2018 : des millions de cœur battent à l’unisson.
 

Hanoï (VNA) - Le "Dimanche rouge", fête de don du sang, a été officiellement inaugurée dimanche matin à l’Institut polytechnique de Hanoï.

Présent, le vice-Premier ministre permanent Truong Hoa Binh a déclaré : "Ces derniers jours, les médias ont évoqué la pénurie de sang du groupe O dans presque tous les hôpitaux du pays. Mais c’est aussi grâce aux médias que j’ai su qu’en quelques jours à peine, des milliers de personnes ont donné de leur sang. Ces actes nobles de ces donneurs de sang traduisent leurs sentiments et leur responsabilité envers les patients et la société."

Depuis une vingtaine d’années, des dizaines de millions de personnes ont donné leur sang. L’an dernier, 1,2 million d’unités de sang ont été collectées dans l’ensemble du pays, répondant à 70% des besoins de traitement. –VOV/VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.