Intempéries : aide de Plan à Quang Tri

L'ONG Plan a annoncé accorder en 2012 une aide non remboursable de 23 milliards de dôngs à Quang Tri afin de l'assister à s'adapter au changement climatique et à réduire les risques que présentent les catastrophes naturelles.

L'ONG Plan aannoncé accorder en 2012 une aide non remboursable de 23 milliards dedôngs à Quang Tri afin de l'assister à s'adapter au changementclimatique et à réduire les risques que présentent les catastrophesnaturelles.

Cette information a été annoncée jeudi lorsd'un colloque organisé par Plan dans la ville de Dông Ha, province deQuang Tri (Centre).

Les participants du colloque ontdiscuté d'expériences dans la mise en oeuvre de programmes de préventionet de limitation des risques des catastrophes naturelles dans cettelocalité, ainsi que des plans d'action pour la réalisation desprogrammes financés par Plan.

Depuis 1995, Plan asoutenu de nombreux projets dans la province de Quang Tri qui estfréquemment touchée par des catastrophes naturelles telles que crues,inondations, sécheresse..., lesquelles entraînent de lourdes pertesmatérielles comme humaines. -AVI

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.