Ils se sont exprimés surla gestion et l’utilisation des capitaux d’investissement publics et lacréation d’un cadre légal pour réguler les activités d’investissement.Ils ont aussi donné leurs avis sur les normes de classement des projetsd’investissement et au partenariat public-privée.
Vendredi, ils ont discuté en groupes du développement socio-économiqueen 2013, sur les quatre premiers mois de l’année et pour les temps àvenir. Plusieurs députés ont noté les efforts du gouvernement poursurmonter les difficultés.
La macroéconomie a connudes évolutions positives. L’inflation a été maîtrisée. Pour la premièrefois en dix ans, le système bancaire s’est montré solvable durant lesdeux premiers mois de l’année. La valeur des exportations des premiersmois de l’année a augmenté de 14,1%, mais principlament pour lesmarchandises de soustraitance. Le taux de décaissement du paquet d’aidede 30.000 milliards de dongs pour les prêts immobiliers reste encorefaible.
A propos des questions sociales, notammentcelles liées à l’agriculture, à la paysannerie et à la ruralité, lesdéputés ont constaté plusieurs résultats encourageants du programmed’instauration de la nouvelle ruralité.
Les députésse sont aussi prononcés sur le projet de loi relative à l’entrée, à lasortie, au transit et au séjour des étrangers au Vietnam. Selon eux, ilfaut simplifier les formalités administratives et renforcer la gestionpour garantir la sécurité nationale et l’ordre social.
A propos des droits et devoirs des étrangers, d’après certainsdéputés, ce projet de loi a précisé que l’Etat vietnamien protégeait lavie, les biens, les devoirs et les intérêts légitimes des étrangers.Mais la protection devrait inclure le droit de dignité et d’honneur desétrangers. – VNA
Perspectives : l’immobilier redéfinit sa trajectoire, les opportunités reposent sur la valeur réelle
Après une longue phase de ralentissement, l’immobilier vietnamien entre dans une période de redéfinition de son modèle de développement. Selon de nombreux experts, l’année 2026 verra l’émergence d’un marché davantage fondé sur la valeur réelle, la demande effective et la solidité des entreprises, à l’issue d’un cycle de croissance excessive.