Dans les corridors, il y a 16 ou 18 Arhats (La Hán), saints bouddhiques, et des grottes où sont représentés les jugements et supplices de l’Enfer (mat dông) ; on y voit parfois les Dix Rois des Enfers. Les indépendances derrière l’édifice central comprennent des pièces (nhà Tô) pour le culte des Papes bouddhiques défunts dont le Bodhidharma (Bô Đê Đat Ma) indien à la barbe en collier et au teint bronzé, et pour le culte des patriarches de la pagode elle-même, à quoi s’ajoutent des pièces pour le culte de tous les génies (chu vi), des esprits, des immortels, des divinités et des Déesses-Mères du taoïsme populaire (điên tho Mâu, phu), une pièce réservée à ceux qui se sont assurés le droit de culte (hâu) pour leurs parents morts, les logements des bonzes. Photo: Vietnamplus