Hommage aux héros morts pour la Patrie dans l'ancienne citadelle de Quang Tri

Quang Tri: hommage aux héros morts pour la Patrie

A l’occasion de la Journée des Invalides de guerre et des Morts pour la Patrie (27 juillet), la vice-présidente de l’Assemblée nationale, Nguyen Thi Kim Ngan, est allée ce dimanche fleurir le mémorial des héros morts pour la Patrie dans l'ancienne citadelle de Quang Tri (Centre).
A l’occasion dela Journée des Invalides de guerre et des Morts pour la Patrie (27juillet), la vice-présidente de l’Assemblée nationale, Nguyen Thi KimNgan, est allée ce dimanche fleurir le mémorial des héros morts pour laPatrie dans l'ancienne citadelle de Quang Tri (Centre).

Elle était accompagnée de Mme Phạm Thị Hải Chuyền, ministre du Travail,des Invalides de guerre et des Affaires sociales, de M. Nguyen Duc Loi,directeur général de l'Agence vietnamienne d'Information (VNA), ainsique d'autres responsables des ministères et services de ressort centralet local.

La délégation a aussi offert de l’encens en mémoirede ces milliers de soldats tombés au champ d’honneur durant les 81 joursde combats pour défendre la citadelle en 1972. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.