Aide internationale pour le déminage à Quang Binh

Aide internationale pour un projet de déminage à Quang Binh

Le Comité populaire de la province de Quang Binh (Centre) vient de recevoir une aide de l’organisation non gouvernementale GWHF pour mettre en œuvre un projet local de déminage.
Aide internationale pour un projet de déminage à Quang Binh ảnh 1Des soldats du génie neutralisent une bombe. Photo: internet

Quang Binh (VNA) – Le Comité populaire de la province d​e Quang Binh (Centre) vient de recevoir une aide de l’organisation non gouvernementale Golden West Humanitarian Foundation (GWHF) pour mettre en œuvre un projet local de déminage.

Cette somme de 242.000 dollars ​permettra d'assurer des formations ​à de nouvelles techniques ​au profit des organes concernés, de créer un centre de formation et de moderniser des équipements du Commandement militaire provincial. Le projet sera mis en oeuvre d'ici fin 2016.

Quang Binh est l'une des localités vietnamiennes les plus grevées par les bombes, mines et autres munitions non explosées laissées par les guerres. Ces dix dernières années, la province a recensé 164 accidents dus ​à de tels engins qui ont coûté la vie à 49 personnes et fait 115 blessés. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.