THE: cinq universités vietnamiennes dans le classement des Universités de l’Asie 2022

Cinq universités du Vietnam figurent dans le classement des Universités de l’Asie 2022 du magazine Times Higher Education (THE d’Asie).

Hanoï (VNA) – Cinq universités du Vietnam figurent dans le classement des Universités de l’Asie 2022 du magazine Times Higher Education (THE d’Asie).

Selon le classement THE d’Asie 2022, l'Université Ton Duc Thang est la mieux placée des universités vietnamiennes, se classant au 73e rang. L’Université Duy Tân est en 91e place.

THE: cinq universités vietnamiennes dans le classement des Universités de l’Asie 2022 ảnh 1L'Université des sciences et des technologies de Hanoï. 

L’Université nationale de Hanoï est placée dans le groupe des 301-350, l’Université nationale de Hô Chi Minh-Ville dans celui des 401-500, et l'Université des sciences et des technologies de Hanoï dans celui des 601-800.

Le classement a évalu 616 établissements de 30 pays et territoires asiatiques cette année. En 2021, le nombre d'établissements était de 551.

Les universités ont été classées par performance dans cinq domaines : enseignement (environnement d'apprentissage) ; recherche (volume, revenu et réputation); citations (influence de la recherche); perspective internationale (personnel, étudiants et recherche); et  revenu de l'industrie (transfert de connaissances).

Les cinq meilleures universités du classement des universités asiatiques 2022 de THE comprennent l’Université Tsinghua (Chine), l’Université de Pékin (Chine), l’Université nationale de Singapour, l’Université de Hong Kong (Chine) et l’Université de technologie de Nanyang (Singapour). –VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.