Saisie de plus de 230 kg de drogue cachés dans des statues en bois

Le Département général des douanes en coopération avec des forces compétentes ont arrêté 10 trafiquants et saisi plus de 237 kg de drogue entrés illégalement au Vietnam.

Hanoï (VNA) –Le Département général des douanes en coopération avec des forces compétentes ont arrêté 10 trafiquants et saisi plus de 237 kg de drogue transportés illégalement au Vietnam.

Vers 19h 15 le 8 septembre, l’office de douane à la porte frontalière Cau Treo et le poste des garde-frontières Cau Treo a arrêté Nguyen Thi Hong Ha, née en 1976, domiciliée au district de Huong Son, province centrale de Ha Tinh, qui transportait 98 kg de drogues cachés dans des statues en bois.

Ensuite, la police a mené une enquête et a arrêté 6 autres personnes à Ho Chi Minh-Ville et confisqué 19 pains d'héroïnes, 22,5 kg de drogue synthétique le 10 septembre.

Le même jour, les garde-frontières de la province centrale de Ha Tinh, en coopération avec la police laotienne, ont arrêté 4 trafiquants et confisqué 110kg de drogues synthétiques cachés dans six statues en bois.

L’enquête se poursuit. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.