Nouvelles arrestations pour détournement de biens chez PVC

Trois nouvelles arrestations pour détournement de biens chez PVC

Trois cadres de plus de la PetroVietnam Construction Joint Stock Corporation (PVC) ont été arrêtées pour «détournement de biens» sur le fondement de l’article 279 du Code pénal.
Hanoi, 30 septembre (VNA) – Trois cadres deplus de la PetroVietnamConstruction Joint Stock Corporation (PVC) ont été arrêtées pour «détournementde biens» sur le fondement de l’article 279 du Code pénal.
Trois nouvelles arrestations pour détournement de biens chez PVC ảnh 1De gauche à droite, Nguyên Anh Minh, Bui Manh Hiên, Nguyên Duc Hung. Photo : ministère de la Sécurité publique
Lapolice a interpelé le directeur général de PVC Nguyên Anh Minh, le chef decabinet de PVC Bui Manh Hiên, l’ancien chef du bureau des finances et de la comptabilitédu comité de gestion du projet Vung Ang-Quang Trach du PVC Nguyên Duc Hung.

Uneperquisition à leur domicile a été également effectuée dans le cadre de l’enquêtede l’affaire «Actes volontaires contraires aux réglementations de l’Etatrelatives à la gestion économique, causant de graves conséquences». – VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.