Le président de l’Association Hiroshima-Vietnam à l'honneur

L'Union des organisations d'amitié d​e Hô Chi Minh-Ville a attribué le 30 novembre le certificat de mérite du ​Comité populaire municipal au président de l’​Association Hiroshima-Vietnam.
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Tatsuya Hayashi (droite) reçoit le certificat de mérite du Comité populaire de Ho Chi Minh-Ville. Photo: QDNDVN

Hô Chi Minh-Ville (VNA) – L'Union des organisations d'amitié d​e Hô Chi Minh-Ville a attribué le 30 novembre le certificat de mérite du ​Comité populaire municipal à Tatsuya Hayashi, président de l’​Association Hiroshima-Vietnam, pour ses contributions aux projets humanitaires de cette ville depuis une dizaine d'années.

En coopération avec des associations et des individus de la préfecture de Hiroshima (Japon), Tatsuya Hayashi a réalisé des activités significatives pour aider les familles du village Hoà Binh, les patients pauvres de l’hôpital Tu Du, etc... En outre, il a parrainé des étudiants vietnamiens à Hiroshima et aidé des familles d​'élèves en difficulté. Ses efforts ont contribu​é au renforcement des relations d'amitié entre les peuples du Vietnam et du Japon. – VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.