Irrigation : Dak Nong assiste les minorités ethniques

Grâce à l'aide de la Banque asiatique de Développement (BAD), la province de Dak Nong (Hauts Plateaux du Centre) réservera 400 milliards de dôngs (environ 19,05 millions de dollars) à l'amélioration de réseaux d'irrigation de zones peuplées de minorités ethniques.
Grâce à l'aide dela Banque asiatique de Développement (BAD), la province de Dak Nong(Hauts Plateaux du Centre) réservera 400 milliards de dôngs (environ19,05 millions de dollars) à l'amélioration de réseaux d'irrigation dezones peuplées de minorités ethniques.

Cette somme, dont350 milliards de dôngs (environ 16,6 millions de dollars) financés parla BAD, sera destinée à la construction et à la réhabilitation d'ici2015 d'ouvrages d'irrigation dans quatre districts de KRong No, DakR'Lap, Dak Mil et Cu Jut.

Outre des canaux etlacs-réservoirs au service de 4.000 ha de cultures de minoritésethniques, ce programme permettra également de construire et d'améliorerplus de 30 km de routes en zone rurale, afin de faciliter etd'améliorer le niveau de vie de la population. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.