Hanoi : amnistie de détenus à l’occasion du 30 avril

Hanoi : amnistie de détenus à l’occasion du 41e anniversaire de la Réunification nationale

A l'occasion du 41e anniversaire de la Réunification du pays, 101 détenus de trois établissements pénitentiaires de Hanoi sont amnistiés ou voient leur peine réduites.
Hanoi : amnistie de détenus à l’occasion du 41e anniversaire de la Réunification nationale ảnh 1Photo: VNA

Hanoi (VNA) -  A l'occasion du 41e anniversaire de la Libération du Sud et de la Réunification nationale (30 avril), 101 détenus de trois établissements pénitentiaires de Hanoi sont amnistiés ou voient leur peine réduites, selon le Conseil d'examen des remises de peine de Hanoi.

Les décisions d'amnistie ont été prises de manière juste, ouverte et équitable, conformément aux principes de démocratie. Elle témoigne de la politique de clémence du Parti et de l'Etat, ainsi que de l'humanité de la nation vietnamienne, à l'égard des prisonniers qui se sont bien conduits durant l'exécution de leur peine et ont réuni les conditions requises.

La politique de clémence du Parti et de l'Etat vietnamiens à l'égard des détenus les encourage à devenir des citoyens utiles après leur retour au sein de la société. -VNA

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.