Des parcs de circulation belges dans les écoles primaires

Le Comité national de sécurité routière et l'organisation belge Handicap International viennent d'achever la première phase d'un projet de sécurité routière à Ho Chi Minh-Ville.

Le Comité national de sécurité routière etl'organisation belge Handicap International viennent d'achever lapremière phase d'un projet de sécurité routière à Ho Chi Minh-Ville.

Ce projet, intitulé "Sécurité routière pour mieux vivre" a été lancé en2004. Sa première phase a été mise en oeuvre dans trois arrondissementsde la mégalopole que sont le 12e, Binh Tân et Thu Duc.

En sept ans, elle a permis l'établissement de quatre modèles de parcd'apprentissage de la sécurité routière au sein de deux écolesprimaires de la ville : Tân Thoi Hiêp (12e arrondissement), Luong ThêVinh (arrondissement de Thu Duc), ainsi que dans d'autres des districtsde Thông Nhât et Tân Thành de la ville de Biên Hoà (province de DôngNai).

Ces parcs reproduisent le réseau de communicationsmoderne avec voies à sens unique, doubles voies, chemins de fer, zonerésidentielle et écoles afin que les élèves puissent mieux comprendrele Code de la route via des situations concrètes, sous forme de"play-school".

De plus, grâce à ce projet, un réseau depremiers secours a été créé avec 35 postes de secours. Plus de 300bénévoles, essentiellement des gens vivant à proximité des nationales,ainsi que des chauffeurs de taxis, ont été formés.

LeComité national de la sécurité routière a proposé à la province de DôngNai (Sud) de coopérer avec Handicap International pour lancer la 2ephase dans cette localité. Les provinces de Binh Thuan (Centre) et BacGiang (Nord) comptent, elles aussi, mettre en oeuvre ce projet. -AVI

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.