Un Chinois arrêté pour avoir amené illégalement des étrangers au Vietnam

Un Chinois a été arrêté dans la ville centrale de Da Nang pour avoir amené illégalement des étrangers au Vietnam, a annoncé le 26 juillet la police municipale.
Un Chinois arrêté pour avoir amené illégalement des étrangers au Vietnam ảnh 1Gao Liang Gu (Photo: VNA)

Da Nang (VNA) - Un Chinois a été arrêté dans la ville centrale de Da Nang pour avoir amené illégalement des étrangers au Vietnam, a annoncé le 26 juillet la Police municipale.

Gao Liang Gu, 42 ans, a été capturé par les forces de police de Da Nang et de la province centrale de Quang Nam, alors qu'il séjournait dans un hôtel de l’arrondissement de Ngu Hanh Son le 25 juillet.

Il a été identifié comme le chef d'un réseau de trafiquants de ressortissants chinois vers Da Nang et Quang Nam ces derniers temps. Il a été emmené à Quang Nam pour une enquête plus approfondie.

La police de Da Nang a trouvé quatre ressortissants chinois entrés illégalement au Vietnam lors d'une inspection administrative dans le quartier de Khue My, arrondissement de Ngu Hanh Son, le 11 juillet, et un autre groupe de 27 Chinois dans un hôtel du quartier d'An Hai Bac, arrondissement de Son Tra, le 26 juillet. Tous ont été mis en quarantaine et soumis à des tests conformément aux réglementations de prévention et de contrôle du COVID-19.

Le 21 juillet, la Police municipale a poursuivi en justice l’affaire concernant l’organisation d’immigration illégale au Vietnam conformément à l'article 438 du Code pénal. -VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.