Les victimes vietnamiennes de l’agent orange poursuivent leur combat

Depuis 10 ans, l’Association des victimes vietnamiennes de l’agent orange/dioxine se bat pour obtenir justice. C’est une lutte difficile, mais qui sera mené jusqu’à son terme.
Depuis 10 ans,l’Association des victimes vietnamiennes de l’agent orange/dioxine sebat pour obtenir justice. C’est une lutte difficile, mais qui sera menéjusqu’à son terme, a affirmé M. Nguyen Van Rinh, le président decelle-ci qui célèbre son 10ème anniversaire le 10 janvier.

Nguyen Van Rinh a déclaré "nous pouvons intenter un procès contre lescompagnies américaines aux Etats-Unis ou dans un pays tiers si sa loi lepermet. En même temps, il faut faire pression sur le gouvernementaméricain afin que les familles des victimes recevent une aidefinancière. Quelles que soient les difficultés, je pense que la justicetriomphe toujours".

En l’honneur du 10ème anniversairede l’Association des victimes vietnamiennes de l’agent orange/dioxine,de nombreuses activités caritatives ont été organisées dans l’ensembledu pays.

Par ailleurs, à l’occasion du Nouvel anlunaire, l’antenne de l’association des victimes vietnamiennes del’agent orange/dioxine de la province de Phu Tho (Nord) offrira près de2.000 cadeaux d’une valeur de 100 à 400.000 dongs aux victimes des 13districts et villes de cette localité.

L’antenne del’association des victimes vietnamiennes de l’agent orange/dioxine deCan Tho (Sud) a lancé de son côté un programme de formationprofessionnelle afin de permettre aux victimes d'être un peu plusautonomes. -VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.