La fête Vietnam-Japon à Ho Chi Minh-Ville

La fête Vietnam- Japon 2012 a eu lieu dimanche à Ho Chi Minh-Ville afin de promouvoir les échanges culturels entre les deux pays.

La fêteVietnam- Japon 2012 a eu lieu dimanche à Ho Chi Minh-Ville afin depromouvoir les échanges culturels entre les deux pays.

Acette occasion, les visiteurs ont pu apprendre à fabriquer descerf-volants et ont été initiés à l'origami, art traditionel japonais dupapier plié, et découvrir de la musique traditionelle interpretée parAki et Kuniko, un duo de koto et guitare acoustic.

Egalementdans le cadre de cette fête, une exposition intitulée "Images de laculture japonaise et du pays" a eu lieu. Une cinquantaine de documentset photos sur la culture, l'art culinaire du pays du Soleil Levant ainsique sur les activités des Japonais ont été présentés.

Cette fête annuelle est co-organisée par le Consulat du Japon à Ho ChiMinh-Ville et la Maison culturelle des jeunes de la ville.

Elle s'est tenue également à Hanoi, Hoi An et Da Nang, avec à chaque fois beaucoup de visiteurs. -AVI

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.