Dông Nai, Kansai coopèrent dans l’industrie auxiliaire

Dông Nai et Kansai coopèrent dans l’industrie auxiliaire

Le Comité populaire de la province de Dông Nai et le Département de l'économie, du commerce et de l'industrie de la région de Kansai ont organisé une conférence afin d'intensifier la coopération dans l'industrie auxiliaire, l'environnement et dans la formation des ressources humaines.
Le Comité populaire de laprovince de Dông Nai et le Département de l'économie, du commerce et del'industrie de la région de Kansai ont organisé une conférence afind'intensifier la coopération dans l'industrie auxiliaire,l'environnement et dans la formation des ressources humaines.

Les deux parties se sont accordées pour favoriser les investissementsjaponais dans cette province méridionale, renforcer l'échanged'informations et le transfert de technologies dans la protection del'environnement ainsi que d'intensifier la coopération entre lesentreprises japonaises et les établissements vietnamiens de formationprofessionnelle afin de créer un réseau de formation des ressourceshumaines.

Dông Nai créera un comité consultatif duKansai pour renseigner les entreprises de cette région sur sa situationsocio-économique, ses politiques et les opportunités d'investissement.

Lors de cette conférence, des chefs d'entreprisesjaponaises ont posé des questions sur les politiques d'investissement,les formalités administratives, le marché, les salaires des ouvriersavant de souhaiter que cette province leur crée des conditionsfavorables.

Actuellement, le Japon est le 3einvestisseur à Dông Nai avec près de 3 millards de dollars répartis dansplus de 130 entreprises. –AVI

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.