Aucun citoyen vietnamien n'est mort dans l'incendie à Kazan (Russie)

Aucun citoyen vietnamien n’est décédé dans l'incendie qui est survenu le 11 mars dans le centre commercial Admiral, dans la ville russe de Kazan, a annoncé le ministère vietnamien des Affaires étrangères.
Aucun citoyen vietnamienn’est décédé dans l'incendie qui est survenu le 11 mars dans le centrecommercial Admiral, dans la ville russe de Kazan, a annoncé le ministèrevietnamien des Affaires étrangères.

Deux citoyens vietnamiens ont subi de légères blessures, et un autre souffrant d'une fracture a été hospitalisé le 12 mars.

Le 11 mars, à la nouvelle de cet incendie, l'ambassade du Vietnam enRussie a immédiatement envoyé des représentants sur place pourrecueillir des informations et collaborer avec les organes locauxcompétents afin d'assister les citoyens vietnamiens.

LeCentre commercial Admiral abrite environ 40 kiosques de commerçantsvietnamiens qui vendent, pour l'essentiel, des vêtements, des articlesde confection et de textile.

Un incendie était survenu le13 octobre 2014 dans le marché Vitarus, à Kazan aussi, lequel avaitcausé d'importants dommages matériels aux commerçants, dont ceuxietnamiens. -VNA

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.