Agent organge : le Vietnam cherche le soutien de l'Australie

Une délégation de l’Association des victimes de l’agent orange/dioxine du Vietnam (VAVA) conduite par son président, M. Nguyên Van Rinh, effectue du 3 au 10 mars une visite de travail en Australie afin de faire appel au soutien de la lutte pour la justice des victimes vietnamiennes, australiennes et néo-zélandaises.
Une délégation del’Association des victimes de l’agent orange/dioxine du Vietnam (VAVA)conduite par son président, M. Nguyên Van Rinh, effectue du 3 au 10 marsune visite de travail en Australie afin de faire appel au soutien de lalutte pour la justice des victimes vietnamiennes, australiennes etnéo-zélandaises.

Cette visite a pour objectifd'intensifier la coopération et la collaboration entre personnesengagées et organisations humanitaires en Australie pour cette nouvellepériode de la campagne internationale lancée dans l'intérêt des victimesde l’agent orange/dioxine de ces trois pays, mais aussi d'autres dontcelles des Etats-Unis.

Les informations fournies parla délégation vietnamienne permettront au gouvernement et au peupleaustraliens de mieux comprendre les conséquences horribles de la dioxinesur l'environnement comme sur la santé des Vietnamiens et des vétéransdes pays alliés des Etats-Unis durant la guerre au Vietnam, a estimé M.M. Nguyên Van Rinh.

La délégation compte rencontrerdes personnes engagées dans cette lutte et des représentants deplusieurs organisations humanitaires des Etats de la Nouvelle-Galles duSud, de Tasmanie et de Victoria. Elle a également rencontré à Sydney desorganisations concernées par ce problème. -AVI

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.