Hô Chi Minh-Ville coopèrent avec l’Inde dans la lutte contre l’inondation urbaine

Le vice-président du Comité populaire de Hô Chi Minh-Ville Trân Vinh Tuyên a reçu l7 novembre la vice-présidente de la compagnie Kirloskar Brothers Limites (KBL) de l’Inde, Shipra Tripathi.

Hô Chi Minh-Ville, 8 novembre(VNA) – Le vice-président du Comité populaire de Hô Chi Minh-Ville Trân VinhTuyên a reçu l7 novembre la vice-présidente de la compagnie Kirloskar BrothersLimites (KBL) de l’Inde, Shipra Tripathi.

Hô Chi Minh-Ville coopèrent avec l’Inde dans la lutte contre l’inondation urbaine ảnh 1Panogama de la séance de travail entre des autorités de Hô Chi Minh-Ville et des responsables de la compagnie indienne Kirloskar Brothers Limites. Photo : VOH

Il s’est réjoui du développementvigoureux des relations entre l’Inde et le Vietnam ainsi que de la coopérationentre Hô Chi Minh-Ville et des entreprises indiennes, dont la compagnie  KBL.

Hô Chi Minh-Ville souhaitecoopérer et être prête à créer des conditions propices à KBL à construire desprojets et coopérer avec la ville dans les domaines d’intérêt commun, notammentla lutte contre les inondations dans les zones urbaines et le règlement des l’envahissementdes eaux salées…

Mme Shipra Tripathi a affirmé quela compagnie Kirloskar Brothers Limites souhaitait élargir la coopération avecla ville dans la lutte contre l’inondation urbaine, l’irrigation et le drainageagricole…

Les deux parties ont convenu decoordonner dans l’étude pour la mise en œuvre efficace des projets defaisabilité dans l’avenir. - VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.