Construction d’une stèle en mémoire des commandos de Saigon

Le vice-Premier ministre Vu Duc Dam a donné son aval au projet de construction dans le Palais de la Réunification d’une stèle en mémoire des commandos de Saigon tombés dans les offensives et soulèvements du Têt Mau Than 1968.
Le vice-Premier ministreVu Duc Dam a donné son aval au projet de construction dans le Palais dela Réunification d’une stèle en mémoire des commandos de Saigon tombésdans les offensives et soulèvements du Têt Mau Than 1968.

Auparavant, le Comité populaire de Ho Chi Minh-Ville avait soumis ce projet au Premier ministre.

Cette stèle aura la forme d'un entre-nœud de bambou, symbole du Palaisde la Réunification. Elle fera 2,7 m de large pour une hauteur de 4,5 m.Le brûle-parfum sera en granit. L’ensemble de l'ouvrage coûtera 1,5milliard de dôngs prélevé du budget municipal.

Selon leministère de la Construction, la reconnaissance envers les héros mortspour la Patrie est indispensable, notamment vis-à-vis de la jeunegénération, pour l'éduquer aux notions de patriotisme, de courage etde sacrifice.
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L’offensive générale du Têt Mâu Thân (Têtdu Singe) a débuté la nuit du 30 janvier 1968, au moment du Réveillon duTêt. Les forces du Front national de libération du Sud Vietnam et del'Armée populaire vietnamienne ont lancé cette offensive majeure surl’ensemble du territoire sud-vietnamien, à commencer par Saigon (Hô ChiMinh-Ville aujourd'hui). Cette offensive a détruit de nombreuses basesde l’Armée américaine. Elle a contribué notablement à la libérationtotale du Sud et à la réunification du pays (le 30 avril 1975). -VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

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L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.