Hanoï (VNA) –Concernant le procès de l’affaire de Dong Tam, le 14 septembre, le Tribunal aappliqué des circonstances pour atténuer les peines infligées à 23 accuséspoursuivis pour "actes d'opposition à l'encontre de personnes exerçant unefonction publique".
Parmi ces 23accusés, Bui Thi Noi a écopé d’une peine de 6 ans de prison. Le Dinh Uy, LeDinh Quang, Le Dinh Quan, Nguyen Van Quan et Bui Van Tien ont été condamnéschacun à 5 ans de prison, alors que Bui Van Tuan, Trinh Van Hai et Nguyen VanDue, 3 ans de prison pour chacun. Les 14 autres accusés ont été condamnés à despeines allant de 15 mois de prison avec sursis à 3 ans de prison avec sursis,et ont été libérés après le procès.
Le jury adéclaré que ces 23 accusés avaient commis des crimes tels que préparer des armes,fabriquer directement des cocktails Molotov..., et la plupart avaient attaqué directement lesforces compétentes en mission dans l’affaire de Dong Tam. Au cours de l'enquêteet au procès, plusieurs accusés ont sincèrement dénoncé leurs crimes et sontconscients de leurs violations de la loi et s'attendent à bénéficier de laclémence de la loi. Sur cette base, le Tribunal a décidé d’atténuer leurspeines.
Pour les 6accusés poursuivis pour “meurtre”, Le Dinh Cong et Le Dinh Chuc ont étécondamnés à mort ; Le Dinh Doanh, à l’emprisonnement à perpétuité ; Bui VietHieu, à 16 ans de prison ; Nguyen Quoc Tien, à 13 ans de prison ; Nguyen VanTuyen, à 12 ans de prison, tous pour “meurtre” selon l’article 123 du Codepénal de 2015.
Selon l'acted'accusation, bien que sachant que le champ de Senh de la commune de Dong Tamétait utilisé à des fins de défense sous la direction du ministère de laDéfense, Le Dinh Kinh (né en 1936, résidant dans le hameau de Hoanh) etd’autres ont mis en place un soi-disant «groupe de consensus» dans le but deréoccuper et de se partager le terrain.
Ils ontfréquemment incité les habitants à déposer des plaintes concernant la gestionet l’utilisation des terres par l’administration de Dong Tam, ont utilisé lesréseaux sociaux pour diffuser de fausses informations selon lesquelles le champde Senh appartenait à la commune de Dong Tam et ont appelé la population localeà «lutter pour garder la terre».
À la fin de2019 et au début de 2020, après avoir appris que la Police de Hanoï a coopéréavec la défense aérienne de l'armée de l'air du ministère de la Défense pour déployerdu personnel pour protéger les personnes ayant participé à la construction desmurs de clôture pour protéger l’aéroport de Miêu Môn sur le terrain de Senh, LeDinh Kinh et ses complices ont acheté des armes dans le but de résister auxforces compétentes.
Le 9 janvier2020, certaines personnes ont résisté aux forces de l’ordre, utilisé desgrenades, des cocktails Molotov et des couteaux pour attaquer les forcescompétentes et les personnes exerçant une fonction publique et troubler l’ordrepublic. Elles ont versé de l'essence à plusieurs reprises dans une fosse oùtrois policiers ont été piégés avant d’y mettre le feu, ce qui avaitdirectement causé la mort de ceux-ci.
Despoliciers ont trouvé Le Dinh Kinh tenant une grenade et appelant les autres àrésister, alors ils ont décidé de le tuer.
Toujours le9 janvier, alors que la police menait sa mission à Dong Tam, trois personnessont venues les attaquer avec des couteaux. Après avoir été arrêtées par lapolice, deux femmes ont continué d’attaquer la force policière avec descouteaux et des pierres. Les femmes ont réussi à s'enfuir mais ont ensuite étécapturées.-VNA
Parmi ces 23accusés, Bui Thi Noi a écopé d’une peine de 6 ans de prison. Le Dinh Uy, LeDinh Quang, Le Dinh Quan, Nguyen Van Quan et Bui Van Tien ont été condamnéschacun à 5 ans de prison, alors que Bui Van Tuan, Trinh Van Hai et Nguyen VanDue, 3 ans de prison pour chacun. Les 14 autres accusés ont été condamnés à despeines allant de 15 mois de prison avec sursis à 3 ans de prison avec sursis,et ont été libérés après le procès.
Le jury adéclaré que ces 23 accusés avaient commis des crimes tels que préparer des armes,fabriquer directement des cocktails Molotov..., et la plupart avaient attaqué directement lesforces compétentes en mission dans l’affaire de Dong Tam. Au cours de l'enquêteet au procès, plusieurs accusés ont sincèrement dénoncé leurs crimes et sontconscients de leurs violations de la loi et s'attendent à bénéficier de laclémence de la loi. Sur cette base, le Tribunal a décidé d’atténuer leurspeines.
Pour les 6accusés poursuivis pour “meurtre”, Le Dinh Cong et Le Dinh Chuc ont étécondamnés à mort ; Le Dinh Doanh, à l’emprisonnement à perpétuité ; Bui VietHieu, à 16 ans de prison ; Nguyen Quoc Tien, à 13 ans de prison ; Nguyen VanTuyen, à 12 ans de prison, tous pour “meurtre” selon l’article 123 du Codepénal de 2015.
Selon l'acted'accusation, bien que sachant que le champ de Senh de la commune de Dong Tamétait utilisé à des fins de défense sous la direction du ministère de laDéfense, Le Dinh Kinh (né en 1936, résidant dans le hameau de Hoanh) etd’autres ont mis en place un soi-disant «groupe de consensus» dans le but deréoccuper et de se partager le terrain.
Ils ontfréquemment incité les habitants à déposer des plaintes concernant la gestionet l’utilisation des terres par l’administration de Dong Tam, ont utilisé lesréseaux sociaux pour diffuser de fausses informations selon lesquelles le champde Senh appartenait à la commune de Dong Tam et ont appelé la population localeà «lutter pour garder la terre».
À la fin de2019 et au début de 2020, après avoir appris que la Police de Hanoï a coopéréavec la défense aérienne de l'armée de l'air du ministère de la Défense pour déployerdu personnel pour protéger les personnes ayant participé à la construction desmurs de clôture pour protéger l’aéroport de Miêu Môn sur le terrain de Senh, LeDinh Kinh et ses complices ont acheté des armes dans le but de résister auxforces compétentes.
Le 9 janvier2020, certaines personnes ont résisté aux forces de l’ordre, utilisé desgrenades, des cocktails Molotov et des couteaux pour attaquer les forcescompétentes et les personnes exerçant une fonction publique et troubler l’ordrepublic. Elles ont versé de l'essence à plusieurs reprises dans une fosse oùtrois policiers ont été piégés avant d’y mettre le feu, ce qui avaitdirectement causé la mort de ceux-ci.
Despoliciers ont trouvé Le Dinh Kinh tenant une grenade et appelant les autres àrésister, alors ils ont décidé de le tuer.
Toujours le9 janvier, alors que la police menait sa mission à Dong Tam, trois personnessont venues les attaquer avec des couteaux. Après avoir été arrêtées par lapolice, deux femmes ont continué d’attaquer la force policière avec descouteaux et des pierres. Les femmes ont réussi à s'enfuir mais ont ensuite étécapturées.-VNA