Réception d’un navire financé par le Japon

Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural a accueilli, le 5 août, à l’usine de construction navale de Hông Hà, à Hai Phong (au Nord), le navire Hayato.
Réception d’un navire financé par le Japon ảnh 1Un bateau de la surveillance  des ressources halieutiques du Vietnam. Source : VNA

Le ministère vietnamien de l’Agriculture et du Développement rural a accueilli, le 5 août, à l’usine de construction navale de Hông Hà, à Hai Phong (au Nord), le navire Hayato.

HAYATO mesure 56,13m de long, 9m de large, pour un poids de 1.079 tonnes. Il sera utilisé par les Forces de surveillance des ressources halieutiques du Vietnam pour des patrouilles et l’application de la loi en mer.

Il s’agit d’un des trois navires dans le cadre d'une aide non remboursable de 500 millions de yens du gouvernement japonais accordée au Vietnam.

Selon la note diplomatique échangée entre les deux pays, le gouvernement japonais accorde cette somme pour l'année fiscale 2014 en vue de garantir la sécurité de la navigation maritime dans les eaux vietnamiennes.

Le Système de coopération internationale du Japon (JICS) est chargé de livrer cette année trois bateaux au Vietnam. – NDEL/VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.