Les Khmers se préparent à leur fête Sen Dolta

Les Khmers d'An Giang (Sud) se préparent à la fête Sen Dolta à la mémoire des ancêtres, qui tombe cette année du 1er au 4 octobre.
Les Khmers d'AnGiang (Sud) se préparent à la fête Sen Dolta à la mémoire des ancêtres,qui tombe cette année du 1er au 4 octobre.

De nombreusesactivités culturelles sont prévues, outre la "course de taureaux de BayNui" qui aura lieu dans la commune de Vinh Trung, district de TinhBiên.

Ces derniers temps, les Khmers bénéficient denombreuses assistances dans le cadre du Programme 135 (Programme dedéveloppement socioéconomique des communes en situation difficile et deslocalités peuplées d'ethnies minoritaires). Ils reçoivent des aides enmatière foncière, d'habitation et d'approvisionnement en eau, ainsi quedes journaux gratuits...

An Giang, à elle seule, adélivré la licence d'utilisation de terre à de nombreuses pagodes desdistricts de Tri Tôn, Tinh Biên, Châu Thanh et Châu Phu. Elle aégalement accordé 12 milliards de dôngs à la construction decrématoriums de pagodes, outre l'installation de stations de radio FMpour présenter les politiques du Parti, les lois de l'Etat ainsi que lesavancées scientifico-techniques.

A cette occasion, unedélégation du Comité de pilotage du Nam Bô Occidental, conduite par sonvice-président, le général de division Trân Phi Hô, a rendu visite à desbonzes et bonzesses khmers, ainsi que des familles khmères méritoiresenvers la Patrie de la province de Soc Trang (Sud). -VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.