Hanoï (VNA) - Outre la garantie des normes et de la qualité des produits, les entreprises doivent prêter attention au développement durable, notamment aux questions concernant la biodiversité et la conservation de la faune, afin de tirer parti des accords de libre-échange de nouvelle génération (ALE).
Cette recommandation a été faite lors d'un forum d'import-export sur la responsabilité des entreprises dans la mise en œuvre de ces ALE, co-organisé le 6 avril par l'antenne de la Chambre de commerce et d'industrie du Vietnam (VCCI) à Hô Chi Minh-Ville et le Fonds mondial pour la nature (WWF).
Selon la VCCI à Hô Chi Minh-Ville, le Vietnam a appliqué 15 ALE, dont trois de nouvelle génération, à savoir l'Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (CPTPP), l'Accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Vietnam (EVFTA) et l'Accord de libre-échange entre le Royaume-Uni et le Vietnam (UKVFTA). Outre les engagements traditionnels sur le commerce et les services, les ALE de nouvelle génération couvrent également des domaines non traditionnels tels que l'environnement, le changement climatique, la biodiversité et la transparence.
Selon la VCCI à Hô Chi Minh-Ville, le Vietnam a appliqué 15 ALE, dont trois de nouvelle génération, à savoir l'Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (CPTPP), l'Accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Vietnam (EVFTA) et l'Accord de libre-échange entre le Royaume-Uni et le Vietnam (UKVFTA). Outre les engagements traditionnels sur le commerce et les services, les ALE de nouvelle génération couvrent également des domaines non traditionnels tels que l'environnement, le changement climatique, la biodiversité et la transparence.
Concernant les actions visant à mettre en œuvre les engagements liés à la biodiversité, Nguyen Huu Nam, directeur adjoint de la VCCI à Hô Chi Minh-Ville, a déclaré que toutes les parties concernées devaient adopter, maintenir et appliquer pleinement les obligations légales en vertu de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES), et échanger des informations sur les stratégies, les initiatives, les politiques, les programmes, les plans d'action et les campagnes de sensibilisation des consommateurs pour freiner l'érosion de la biodiversité.
Elles devraient également mettre en œuvre leurs engagements visant à réduire le commerce illégal d'espèces sauvages par le biais de campagnes de sensibilisation et de surveillance de l'utilisation et du commerce illégaux d'animaux sauvages, a-t-il ajouté.
Le WWF a estimé que le commerce illégal d'espèces sauvages génère entre 7 et 23 milliards de dollars par an. D'autres activités illégales souvent associées à la criminalité liée aux espèces sauvages comprennent le blanchiment d'argent, la corruption et la falsification.
Par conséquent, la participation des entrepreneurs et des entreprises joue un rôle très important dans la prévention des transactions illégales d'espèces sauvages. - VNA