Le Dr. MaximSyunnerberg, 32 ans, professeur de langue vietnamienne à l’UniversitéMoscow State (MSU), vient d’adapter ce roman pour un manuel de languevietnamienne à l’intention des étudiants russes.
La première moitié de l’ouvrage scolaire présente l’histoire de "Cô gaidên tu hôm qua" et la seconde comprend les parties pratiques etthéoriques telles que la grammaire, le lexique…
Avec l’accord de l’écrivain Nguyên Nhât Anh, le professeur M.Syunnerberg a changé la structure de l’œuvre. Le roman de dix chapitres aété arrangé en 16 parties, pour mieux l’adapter au programme scolairede 16 semaines.
Le manuel est accompagné d’un CDoù les étudiants des universités russes peuvent découvrir le roman àtravers une lecture réalisée par un Viêt kiêu (Vietnamiens d’outre-mer),résidant en Russie.
L’objectif de cetteadaptation réside dans la volonté du professeur Maxim Syunnerbergd’aider les étudiants à mieux comprendre le Vietnam par le biais decette histoire.
Renommé dans son milieu, MaximSyunnerberg est l’auteur d’un dictionnaire Russe-Vietnamien de 500pages, édité il y a trois ans. Il est issu d’une famille passionnée parle Vietnam, dont le père Alexei Syunnerberg est journaliste et ancienchef du Service linguistique vietnamien de la radio «Voix de la Russie».
À 55 ans, Nguyên Nhât Anh est un romancier etnouvelliste pour adolescents, auteur d’une centaine d’ouvrages. Trèsapprécié des jeunes lecteurs vietnamiens, nombreux de ces écrits sontdevenus des best-sellers.
Avant l’adaptation deLa demoiselle venue depuis hier, Nguyên Nhât Anh a vu deux de ses autreslivres traduits en d’autres langues : "Mat biêc" (Yeux azurs) enjaponais et "Cho tôi xin môt ve di tuôi tho" (Donnez-moi un billetretour vers l’enfance) – AVI
Les pêcheurs engagés pour lever le « carton jaune » de la pêche INN
Ces dernières années, dans la ville de Huê, les pêcheurs sont devenus de véritables « gardiens de la mer », en respectant strictement les règles contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Grâce à une coordination étroite avec les gardes-frontières et les autorités locales, chaque navire est suivi et ses données sont vérifiées, contribuant ainsi à la transparence du secteur et aux efforts visant à lever l’avertissement de l’Union européenne (UE).