Dans un discours prononcé à cette occasion, l'ambassadeur de Russie auVietnam, Kovtun Andrei Grigorievich, a estimé que ce forum aiderait lesexperts russes et vietnamiens à élargir leur dialogue autour de lasécurité radioactive de la future première centrale nucléaire duVietnam, prévue à Ninh Thuan.
Il a affirmé que la Russieest totalement responsable des activités des centrales nucléaires nonseulement sur son territoire mais encore dans les pays où elle aparticipé à des projets de construction de tels ouvrages.
Le directeur des programmes du groupe national de l'Energie nucléairede la Russie (Rosatom), Boyarkin Sergey Alexandrovich, a souligné lesparticularités des réacteurs modernes russes ainsi que les expériencesde la Russie dans la construction de centrales à l'étranger.
Pour assurer la sécurité de la centrale nucléaire de Ninh Thuan 1,Boyarkin Sergey Alexandrovich a affirmé que celle-ci serait construiteselon les technologies les plus sécuritaires.
Il aégalement présenté la procédure comme les technologies d'applicationdans la construction des centrales nucléaires, les principes deprotection comme de contrôle, la gestion des risques de fuitesradioactives dans l'environnement, la résistance aux catastrophesnaturelles comme séisme et tsunami...
Dans le cadre dece forum, le groupe Rosatom présentera des expériences russesd'information et de sensibilisation de la société, et des politiquesd'aide pour la formation de cadres du secteur de l'énergie atomiquepour le Vietnam.
L'Assemblée nationale (AN) a adopté ennovembre 2009 le projet de construction de deux centrales nucléaires àla province de Ninh Thuan (Centre), d'un coût total de 200.000milliards de dongs. Ces deux centrales, d'une puissance totale de 4.000MW, seront chacune équipées de deux turboalternateurs. La première seraconstruite dans la commune de Phuoc Dinh, district de Thuan Nam, et laseconde dans celle de Vinh Hai, district de Ninh Hai. - AVI

Le Vietnam s’efforce de faire lever le carton jaune de l’UE d’ici au 15 septembre
Le ministère vietnamien de l’Agriculture et de l’Environnement a dévoilé un plan intensif pour lutter contre la pêche INN, avec une date limite fixée à septembre 2025 pour se conformer aux recommandations de la Commission européenne.