Formation des cadres: HCM-V veut coopérer avec le Japon

Hô Chi Minh-Ville souhaite bénéficier du soutien du Japon dans la formation des ressources humaines, notamment des cadres dirigeants, a dit vendredi le vice-président du Comité populaire municipal Tât Thành Cang au directeur général de l’Autorité nationale du personnel du Japon, Kozo Yoshida.


Hô ChiMinh-Ville souhaite bénéficier du soutien du Japon dans la formation desressources humaines, notamment des cadres dirigeants, a dit vendredi levice-président du Comité populaire municipal Tât Thành Cang audirecteur général de l’Autorité nationale du personnel du Japon, KozoYoshida.

Le responsable de la mégapole du Sud a prisen haute estime le programme de coopération entre le Japon etl’Institut national de politique Ho Chi Minh dans la formation descadres, avant d’affirmer qu'il souhaitait que le Japon poursuive sonsoutien en la matière en faveur de la ville.

TâtThành Cang a précisé que le Japon figurait dans la liste des premiersinvestisseurs étrangers et opérait efficacement au Vietnam.

Selon Kozo Yoshida, Hô Chi Minh-Ville dispose de nombreux potentielsde développement, lesquels sont autant d’opportunités pour renforcer lacoopération bilatérale, notamment dans l'éducation et la formation descadres dirigeants et le travail du personnel. Et d'espérer que cettecoopération contribuera à resserrer les liens entre les deux pays.

En visite de travail au Vietnam, Kozo Yoshida a fait savoir qu’ilavait eu une séance de travail avec le Service de l’intérieur de Hô ChiMinh-Ville pour élaborer un plan de coopération et de soutien avec laville. –VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.