Aucun nouveau cas de COVID-19 n’a été signalé en trois jours

Aucun nouveau cas de COVID-19 n’a été détecté à 6 heures du matin le 19 avril, ce qui fait que le pays a passé trois jours d’affilée sans nouvelle infection au nouveau coronavirus.

Hanoi (VNA) - Aucun nouveau cas de COVID-19 n’a été détecté à 6 heures du matin le 19 avril, ce qui fait que le pays a passé trois jours d’affilée sans nouvelle infection au nouveau coronavirus, selon le Comité national de pilotage pour la prévention et le contrôle du COVID-19.

Aucun nouveau cas de COVID-19 n’a été signalé en trois jours ảnh 1Traitement d’un patient de COVID-19 à l’hôpital du district de Dông Van, province de Hà Giang (Nord). Photo: VNA

Parmi les 268 cas confirmés jusqu’à présent, 160 sont importés et les autres sont des infections au sein de la communauté.

Le 18 avril, trois patients se sont rétablis, portant le nombre de patients guéris à 201.

Au total, 62.998 personnes sont sous quarantaine ou sous surveillance médicale à travers le pays. – VNA

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.