Aide américaine aux sinistrés de Quang Nam

Cinq maisons d'une valeur unitaire de 40 millions de dôngs et d'une superficie de 42 m² ont été remises vendredi à des foyers touchés par les calamités naturelles dans le district de Hiêp Duc, province de Quang Nam (Centre).
Cinq maisons d'une valeur unitaire de 40millions de dôngs et d'une superficie de 42 m² ont été remises vendredià des foyers touchés par les calamités naturelles dans le district deHiêp Duc, province de Quang Nam (Centre).


Il s'agit de dons accordés par les ONG ExxonMobil Vietnam et l'Habitatpour l'Humanité Vietnam (Habitat Vietnam), basée aux Etats-Unis.


Sous la devise "Un avenir plus sûr pour les habitants touchés par letyphon Ketsana survenu en septembre 2009 au Centre et les communautéssouvent exposées aux catastrophes naturelles", Habitat Vietnam est entrain de déployer un autre projet dans la province de Quang Nam afin devenir en aide aux familles à faible revenu.


Présente auVietnam depuis 2002, Habitat Vietnam compte soutenir, jusqu'à 2011,18.000 familles ayant des besoins en eau propre et en logement. -AVI

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.