Etaient présents des responsables des ministères vietnamiens de la Construction, des Communications et du Transport, et de l’Agriculture et du Développement rural, ainsi que des ministères japonais du Transport, de l’Aménagement du territoire et du Tourisme, outre des spécialistes de l’Association vietnamienne d’ingénierie structurelle et de technologies de construction (VASECT), de l’Association des ingénieurs de construction du Japon (JSCE).
Selon le vice-ministre vietnamien de la Construction Nguyen Thanh Nghi, les infrastructures du Vietnam, qui bénéficie d’une politique de priorité depuis nombre d'années, s’améliorent effectivement grâce à un investissement massif représentant 10% du PIB du Vietnam, et répondent davantage aux exigences du développement socioéconomique national.
Le vice-ministre vietnamien a ensuite souligné les problèmes rencontrés tels que le manque d'autoroutes reliées entre elles, de réseaux de communication urbaine moderne dans les grandes villes, la faiblesse de la planification, ainsi que les problèmes liés au financement et à un trop grand éparpillement des investissements qui limitent les ressources pour le développement des infrastructures.
Les spécialistes japonais, forts de leurs expériences et de leurs technologies dans le développement et la gestion des infrastructures, ont présenté les innovations en matière de construction d'autoroutes, de lignes ferroviaires à grande vitesse, de renforcement des sols faibles... qu'ils considèrent comme particulièrement utiles pour un pays en voie de développement.
Selon les participants, ce séminaire est une bonne occasion pour les décideurs politiques, les entrepreneurs et les spécialistes vietnamiens d'étudier des stratégies de développement, des nouvelles technologies, des modèles de développement des infrastructures, ainsi que les expériences japonaises.
Le Japon, qui est actuellement le premier bailleur de fonds du Vietnam, privilégie en particulier le développement des infrastructures de ce dernier. - AVI
Il n’y a pas de pouvoir transformateur plus grand que de "croire en un enfant"
« Au cours de mes années de travail au Vietnam, une vérité m’est apparue de plus en plus clairement : lorsqu’une société choisit de croire en ses enfants, le changement s’ensuit », a déclaré Silvia Danailov, représentante de l’UNICEF au Vietnam
