Une base de données sur les handicapés et les victimes des mines mise en place

75.000 handicapés des provinces de Quang Binh et Binh Dinh (Centre), dont 12% sont victimes des mines de guerre, se sont inscrits à une base de données numérique permettant de gérer leurs informations.

Hanoi (VNA) – 75.000 handicapés des provinces de Quang Binh et Binh Dinh (Centre), dont 12% sont victimes des mines de guerre, se sont inscrits à une base de données numérique permettant de gérer leurs informations.

Une base de données sur les handicapés et les victimes des mines mise en place ảnh 1Photo: VOV


Mise en service depuis mai 2019 et développée par la société de logiciel Tri Nam et parrainée par le Département de sécurité sociale, cette plate-forme propose aux utilisateurs plusieurs services médicaux tels que la chirurgie orthopédique, la réhabilitation fonctionnelle, la physiothérapie, des consultations psychologiques, mais également des formations professionnelles, des offres d’emploi et d’autres aides.
En 2020, ce service sera mis en service dans l’ensemble du pays, a annoncé Trân Canh Tùng, un responsable du Département de sécurité sociale.

«Nous allons perfectionner le cadre juridique sur les aides dispensées aux victimes des mines et des handicapés. Nous entendons aider les localités à développer des modèles de soutien économique et médical en faveur des personnes dans le besoin. Nous investirons également dans les locaux et les équipements des centres d’accueil. Nous mettrons bientôt en place des lignes de téléphone d’urgence pour faciliter la communication entre les services de soin et la population», a-t-il précisé. – VOV/VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.