Les 10 et 11 novembre à Ho Chi Minh-Ville, un séminaire a été organisé sur le thème "Trouver de nouvelles façons de faire face aux nouveaux défis dans la détection et le contrôle de la tuberculose au Vietnam".
Placé sous l’égide de l'Organisation internationale pour l'amélioration de la santé (HIP) et l’hôpital Pham Ngoc Thach, il avait pour objet de recueillir les avis des principaux experts du pays et du monde sur les nouvelles solutions de la tuberculose afin de faire face aux difficultés de diagnostic et de lutte contre la tuberculose au Vietnam.
Le docteur Martina Casenghi, spécialiste de la tuberculose de Médecins sans frontières, a indiqué que les outils de diagnostic rapide et la décentralisation de la tuberculose résistante aux médicaments ont un rôle énorme dans la détection et le contrôle de cette maladie. Il y a donc des besoins d'investir dans des systèmes et des tests de diagnostic.
Actuellement, le Gene Xpert est la technique la plus avancée qui est appliquée dans un certain nombre d’hôpitaux provinciaux et régionaux pour le diagnostic initial de cas présumés de MDR-TB ou TB avec co-infection à VIH. Toutefois, selon le Dr Nguyen Thi Ngoc Lan, directrice du département de microbiologie de l'hôpital Pham Ngoc Thach, l'approche de cette technique est assez limitée et son coût est relativement élevé, ce qui est problématique alors que programme national de lutte contre la tuberculose est confronté à des difficultés financières en raison de la diminution de l'aide internationale.
Il est donc temps de lancer de nouvelles méthodes de diagnostic et tests de biologie moléculaire en vue d’obtenir des résultats plus précis et sensible que l'examen microscopique des expectorations. Cette méthode donne également des résultats plus rapides en permettant un traitement initial précoce des patients.
Les participants ont également discuté des besoins réels au Vietnam en termes sanitaires de la lutte contre tuberculose, de recherche et de développement de méthodes de diagnostic et de traitement de cette maladie. -CPV/VNA
Placé sous l’égide de l'Organisation internationale pour l'amélioration de la santé (HIP) et l’hôpital Pham Ngoc Thach, il avait pour objet de recueillir les avis des principaux experts du pays et du monde sur les nouvelles solutions de la tuberculose afin de faire face aux difficultés de diagnostic et de lutte contre la tuberculose au Vietnam.
Le docteur Martina Casenghi, spécialiste de la tuberculose de Médecins sans frontières, a indiqué que les outils de diagnostic rapide et la décentralisation de la tuberculose résistante aux médicaments ont un rôle énorme dans la détection et le contrôle de cette maladie. Il y a donc des besoins d'investir dans des systèmes et des tests de diagnostic.
Actuellement, le Gene Xpert est la technique la plus avancée qui est appliquée dans un certain nombre d’hôpitaux provinciaux et régionaux pour le diagnostic initial de cas présumés de MDR-TB ou TB avec co-infection à VIH. Toutefois, selon le Dr Nguyen Thi Ngoc Lan, directrice du département de microbiologie de l'hôpital Pham Ngoc Thach, l'approche de cette technique est assez limitée et son coût est relativement élevé, ce qui est problématique alors que programme national de lutte contre la tuberculose est confronté à des difficultés financières en raison de la diminution de l'aide internationale.
Il est donc temps de lancer de nouvelles méthodes de diagnostic et tests de biologie moléculaire en vue d’obtenir des résultats plus précis et sensible que l'examen microscopique des expectorations. Cette méthode donne également des résultats plus rapides en permettant un traitement initial précoce des patients.
Les participants ont également discuté des besoins réels au Vietnam en termes sanitaires de la lutte contre tuberculose, de recherche et de développement de méthodes de diagnostic et de traitement de cette maladie. -CPV/VNA