Dans lescinq années à venir, la province de Quang Ninh privilégie les appels àl’investissement dans les secteurs du commerce, des servicestouristiques et culturels avec 27 projets attendant des partenaires. Lesplus grands projets sont la zone touristique de Cai Chiên, la zonetouristique de Trà Cô, et la zone touristique de l’île Phuong.
Les projets dans les communications sont également nombreux, 13 autotal dont certains d’envergure comme le port de Cai Bâu (1,2 milliardde dollars), l’autoroute Ha Long-Mong Cai (700 millions), l’autoroute HaLong-Nôi Bài (577 millions).
Priorité au partenariat public-privé
Les deux plus importants sont la zone industrielle verte de Vân Dôn(1,5 milliard de dollars) et la zone industrielle de Nha Mac (530millions). La liste des projets faisant appel aux capitaux privéscomprend aussi des projets dans la santé, l’éducation et la formation,l’environnement, l’approvisionnement en eau potable et l’agriculture.
La plupart sont proposés sous forme de partenariatpublic-privé ou convention comportant un financement intégral parl’investisseur. Les autorités provinciales ont confié la tâche au Comitéde promotion et d’assistance des investissements de la province depublier des informations concrètes sur ces projets.
Selon le Service du plan et de l’investissement, Quang Ninh recenseaujourd’hui 148 projets d’investissement. Pour mieux attirer lesinvestisseurs, elle mise sur l’amélioration de son environnementéconomique. Les infrastructures ont été nettement améliorées et laréforme administrative a abouti à des résultats notables. Depuisquelques années, la province a élaboré plusieurs plans d’aménagementprivilégiant notamment le tourisme, la formation de ressources humaineset l’environnement.
Entre 2016 et 2020, Quang Ninhs’est fixée pour objectif d’attirer entre 2,6 et 3 milliards de dollarsd’investissement par an, dont un milliard d’investissement directétranger. – VNA
Traçabilité, high-tech et export : le grand plan agricole de Bac Ninh
La province de Bac Ninh mettra en œuvre plusieurs mesures pour élargir les zones de culture, notamment pour les arbres fruitiers phares et les légumes selon des normes strictes de sécurité alimentaire, afin de répondre à la demande intérieure et aux besoins d'exportation.
