Publication d’une œuvre sur l’ex-Premier ministre singapourien Lee Kuan Yew

À l’occasion de la Fête nationale de Singapour (9 août), la Maison d'édition «Tre» (Jeunesse) a publié, le 17 août, une œuvre sur l’ex-Premier ministre singapourien, Lee Kuan Yew.
Publication d’une œuvre sur l’ex-Premier ministre singapourien Lee Kuan Yew ảnh 1Cérémonie de publication d'une œuvre sur l’ex-Premier ministre singapourien, Lee Kuan Yew. Photo: Petrotimes.

Hanoi (VNA) - À l’occasion de la Fête nationale de Singapour (9 août), la Maison d'édition «Tre» (Jeunesse) a publié le 17 août une œuvre sur l’ex-Premier ministre singapourien, Lee Kuan Yew, et cet État insulaire.

Singapour est un pays connu ​mondialement pour ses succès dans la planification urbaine, le développement touristique, l’épanouissement de l’éducation et de la formation, ​en dépit de la petite superficie et de la maigreur de ses ressources naturelles. Ces performances remarquables au cours de ces 50 dernières années ont été rendues possibles grâce aux contributions positives de son ex-Premier ministre Lee Kuan Yew.

À noter que le respect des autorités et du peuple singapouriens à l’égard des valeurs historiques et culturelles suscitent l’admiration de la communauté internationale. -NDEL/VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.