"Nguoi cao tuôi" écope une amende de 699,7 m de dôngs

Le ministère de l’Information et de la Communication vient de décider d’infliger une amende de 699,7 millions de dôngs au journal "Nguoi cao tuôi" (Les personnes âgées) pour plusieurs violations commises.
Le ministère de l’Informationet de la Communication vient de décider d’infliger une amende de 699,7millions de dôngs au journal "Nguoi cao tuôi" (Les personnes âgées) pourplusieurs violations commises.

Le journal estreproché d’avoir enfreint les prescritionps prévues par l’alinéa a,clause 4, article 5, l’alinéa a, clause 3, article 8 de l’arrêtéNº159/2013/ND-CP du gouvernement fixant la sanction des violationsadministratives dans les activités de presse et de publication.

Auparavant, le ministère a proposé à l’Association des personnesâgées, dont relève le journal, de révoquer le rédacteur en chef Kim QuôcHoa et de retirer sa carte de presse, d’élaborer un plan derenforcement du personnel et de la structure organisationnelle dujournal.

Le 10 février, en se basant sur lesconclusions d’une récente inspection imprévue dudit ministère chez"Nguoi cao tuôi", l’Association des journalistes vietnamiens a décidéd’approuver le retrait de la carte de presse de Kim Quôc Hoa pour avoirviolé les statuts de l’association.

Le ministère a également  demandé au journal de publier des rectifications et desexcuses pour ses actes de publication de fausses informations. Undossier a été également transmis au ministère de la Sécurité publiquepour servir une enquête sur les articles incriminés dans les pages dujournal. – VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.