Ce document est rédigé en deux langues :vietnamien et anglais. Il réunit les questions des membres del’Eurocham et énumère clairement les grands sujets importants tels queles ressources humaines et la formation, le droit de la propriétéintellectuelle, la logistique et les transports, les taxes et laspéculation, les technologies de l’information, l’alimentation, lesproduits pharmaceutiques, le tourisme et l’hôtellerie.
D’après Jean-Jaques Bouflet, l’Union européenne est le deuxième plusgrande partenaire commercial du Vietnam. Par conséquent, ce livre aiderale gouvernement vietnamien à mieux comprendre les demandes desentreprises européennes, ainsi qu’améliorer l’environnement économique,le rendre plus transparent et créer des opportunités pour eux.
Les membres de l’Eurocham ont souligné que les plus grands obstaclespour eux sont les prix, le rôle des entreprises étatiques et laprotection de la propriété intellectuelle. En effet, dans plusieursdomaines, la fluctuation des prix doit être approuvée par l’État et celaimpose des limites aux investisseurs. Ils voudraient établir les prixdans un cadre normal. De plus, beaucoup d’entreprises étatiques sontbénéficiaires mais elles ne fonctionnent pas effectivement. Cela freinela croissance économique.
En outre, le Vietnamconcurrence les autres pays grâce aux bas salaires dans les ressourceshumaines. Et encore, il voudrait investir dans les domaines de la hautetechnologie et de la taxe sur la valeur ajoutée. Par conséquent, il fautrenforcer les lois sur la propriéte intellectuelle si les investisseursapportent des hautes technologies au Vietnam.
Si leVietnam n’améliore pas l’environnement de l’investissement, surtoutdans la protection de la propriéte intellectuelle, les opportunitésd’investissment seront perdues face à la concurrence des pays dans larégion, a déclaré le vice-président de l’Eurocham, Tomaso